Stéphane Nomis, le président de la Fédération française de Judo, demande pardon aux victimes de violences
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Un mois après l'audition de Jean-Luc Rougé, son prédécesseur à la tête de la Fédération française de judo et disciplines associées (FFJDA), Stéphane Nomis était auditionné ce jeudi par la Commission d'enquête parlementaire.
Nos 3 raisons de lire l'article
- Mise en avant de la préparation de Stéphane Nomis pour son audition devant la Commission d'enquête parlementaire : Stéphane Nomis s'était préparé pour son audition devant les députés en apportant un dossier d'une dizaine de pages, contrairement à son prédécesseur Jean-Luc Rougé qui était venu avec une simple page de cahier griffonné.
- Différences entre Stéphane Nomis et Jean-Luc Rougé dans leur manière de diriger la fédération : Stéphane Nomis a mis en avant sa volonté de déléguer et de travailler en équipe, contrairement à son prédécesseur qui dirigeait seul. Il a également souligné que malgré les délégations, il reste le responsable pénal de la Fédération.
- Engagement de la Fédération dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles : Stéphane Nomis a présenté les dispositifs mis en place par la Fédération pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, ainsi que les autres formes de violences. Il a également présenté les chiffres des signalements enregistrés depuis sa prise de pouvoir.
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